Merci à Edison et ses dix mille tentatives pour donner la lumière aux hommes et à ses lampes à incandescence que j’utilise dans cette parenthèse lumineuse.
Merci à Dame Nature de faire pousser des arbres, qui donne le bois aux hommes depuis la nuit des temps.
Merci à Euclide et ses axiomes, père de la géométrie dans l’espace, grâce auquel j’ai pu faire 20 cubes.
Merci à mon père de m’avoir ouvert son atelier, partagé son amour du travail du bois et aidé à transformer ces cubes en supports de lampe.
Merci à Kandinsky d’avoir illuminé mon enfance et que je puisse faire œuvre de peintre sur ces supports.
Merci à mon piano d’avoir inspiré mes rêves et à la statue de Beethoven dans mon atelier qui veille à ce que le souffle me porte plus loin.
Merci à vous de venir voir ces nouvelles créations ou de réagir et de m’éclairer sur l’art qui s’y trouve.
Chaque lampe est accompagnée d’un poème écrit par Olivier Wahl.
Des mots sur la lumière, de la lumière sur les mots.